Patrick Kessel

Pour une histoire du Parti communiste français

Indications bibliographiques

Parti socialiste (Section française de l’Internationale ouvrière)

Bibliothèque nationale de France

15e Congrès national du 5 octobre 1918 – Rapport du Groupe socialiste au Parlement 

15e Congrès national des 6-10 octobre 1918 – Programme économique du Parti pour l’après-guerre: rapport de la Commission économique interfédérale (Seine, Nord et Pyrénées orientales) 

15e Congrès national des 6, 7, 8 et 9 octobre 1918 – Rapport du secrétariat 

17e congrès national tenu à Strasbourg les 25, 26, 27, 28 et 29 février 1920 – compte-rendu sténographique 

17e Congrès national de Strasbourg (février 1920) Rapport du secrétariat: la vie du Parti d’octobre 1918 à janvier 1920 

18e congrès national tenu à Tours les 25, 26, 27, 28, 29, 30 décembre 1920 – compte-rendu sténographique 

Parti communiste (Section française de l’Internationale communiste)

Bibliothèque nationale de France

1er Congrès national du Parti communiste français (25‑29 Décembre 1921 à Marseille) – Un an d’action communiste: rapport du secrétariat général présenté au 19e congrès national (du Parti socialiste) 

2e Congrès national du Parti communiste français (15‑18 octobre 1922 à Paris) – Manifeste de l’extrême-gauche (Comité de défense communiste) 

2e Congrès national du Parti communiste français (15‑18 octobre 1922 à Paris) – Rapport moral du secrétariat général présenté au 20e Congrès national (du Parti socialiste) 

3e Congrès national du Parti communiste français (20‑23 janvier 1924 à Lyon) – adresses et résolutions 

5e Congrès national du Parti communiste français (20‑26 juin 1926 à Lille) – Compte rendu sténographique 

5e Congrès national du Parti communiste français (20‑26 juin 1926 à Lille) – Plateforme de la gauche: projet de thèses présenté par un groupe de "Gauchistes" (bordiguistes) 

6e Congrès national du Parti communiste français (31 mars‑6 avril 1929 à Paris) – rapport politique du Comité central 

Conférence nationale du Parti communiste français (9‑12 mars 1930 à Paris) – Résolutions adoptées par la 

8e Congrès national du Parti communiste français (22‑25 janvier 1936 à Lyon-Villeurbanne) – compte rendu sténographique (rapports, interventions, résolutions, élection des organismes dirigeants) 

9e Congrès national du Parti communiste français (25‑29 décembre 1937, Arles) – Deux ans d’activité au service du peuple: rapports du Comité central 

L’Humanité

Bibliothèque nationale de France

L’Humanité [1], années 1904 à 1939 et 1944 

Bulletin communiste

CERMTRI

Bulletin communiste [2], années 1920 à 1933 

Cahiers du bolchevisme – organe théorique du Parti communiste français (SFIC)

Bibliothèque nationale de France

Cahiers du bolchevisme [3], années 1924 à 1942, et 1944 

Confédération générale du travail

Bibliothèque nationale de France

21e Congrès national corporatif (15e de la C.G.T.) [4], Orléans, 27 septembre‑2 octobre 1920 – Compte-rendu des travaux 

21e Congrès national corporatif (15e de la C.G.T.), Orléans, 27 septembre‑2 octobre 1920 – Rapports moral & financier pour l’exercice 1919‑1920 

La Voix du Peuple – organe de la CGT

Bibliothèque nationale de France

La Voix du peuple, années 1916 et 1919 à 1940 

en particulier:

La Voix du peuple, 2e Série, n° 37, janvier 1922: Historique de la scission dans le mouvement syndical français 

Confédération générale du travail unitaire (Section française de l’Internationale syndicale rouge)

Bibliothèque nationale de France

2e congrès national (extraordinaire) de la C.G.T.U., Bourges, 12‑17 novembre 1923; Conférence féminine 

4e Congrès national de la C.G.T.U., Bordeaux, 19‑24 septembre 1927; Conférence nationale féminine; Conférence nationale des jeunes syndiqués 

6e Congrès national de la C.G.T.U., Paris, 8‑14 novembre 1931; Conférence nationale féminine; Conférence des jeunes travailleurs 

 



[1]. À sa fondation en 1904, l’Humanité porte le sous-titre "journal socialiste"; le 19 avril 1911, le 8e congrès du Parti socialiste adopte une résolution sur les rapports entre le journal et le parti. Le 22 janvier 1921 le journal devient propriété du "Parti socialiste, Section française de l’International communiste". Le 8 avril 1921 le sous-titre "journal socialiste" est remplacé par "journal communiste". Le 8 février 1923, l’Humanité devient l´"organe central du Parti communiste (SFIC)".

[2]. En mai 1919 se constitue le “Comité pour l’adhésion à la IIIe Internationale”, dont font partie notamment Fernand Loriot, Paul Vaillant-Couturier, Pierre Monatte, Gaston Monmousseau. Le 1er mars 1920 parait le premier numéro du "Bulletin Communiste – Organe du Comité de la Troisième Internationale". Sont alors secrétaires du Comité: Loriot, Monatte, Boris Souvarine; ce dernier est directeur de publication du Bulletin Communiste. Le 31 octobre 1921, le Comité de la IIIe Internationale est dissous; le Bulletin Communiste devient "Organe du Parti communiste (SFIC)" à partir du numéro 50 du 10 novembre 1921. Dans sa séance du 20 octobre 1922, le Comité directeur élu au Congrès du PCF qui vient de se tenir, nomme Paul Louis directeur du Bulletin Communiste au lieu de Souvarine. Deux cahiers sont parus du numéro 43 du Bulletin Communiste, daté du 26 octobre 1922, l’un publié par la nouvelle rédaction, et l’autre par l’ancienne, ce dernier portant l’adjonction "international" dans son titre. Puis Souvarine publie jusqu’à fin décembre les "Cahiers Communistes". Avec le dernier numéro du Bulletin Communiste de l’année 1922, paru comme numéro 44 avec numérotation des pages faisant suite au Bulletin Communiste international, Souvarine reprend la direction du Bulletin Communiste. Il est exclu du Parti en juillet 1924 mais conserve ses droits sur le titre. La parution du Bulletin Communiste – Organe du Parti communiste (SFIC) se termine avec le numéro 46 du 14 novembre 1924, et Comité directeur du Parti fait paraître les "Cahiers du bolchevisme – organe théorique du Parti communiste français (S.F.I.C.)" à partir du 21 novembre 1924. Souvarine publie à partir du 23 octobre 1925 le "Bulletin Communiste – Organe du communisme international".

[3]. Les Cahiers du bolchevisme paraissent à partir de novembre 1924 jusqu’en juillet 1939, avant leur interdiction par le gouvernement suite au traité de non-agression entre l’Allemagne et l’Union soviétique. Une nouvelle série paraît à partir de janvier 1940.

[4]. Initialement, la CGT faisait remonter la série de ses congrès à celui qui s’était tenu à Lyon en octobre 1886 et où avait été fondée la Fédération Nationale des Syndicats et Groupes Corporatifs. Le Congrès de Limoges (Septembre 1895) où fut fondée la C.G.T. était le septième de ces congrès dits corporatifs. La CGT a conservé ces dénominations en série double jusqu’à son Congrès de 1963, "34e Congrès Confédéral, 40e Congrès National Corporatif".